Où Guillaume parle à Adso du grand fleuve hérétique, de la fonction des simples dans l’Église, de ses doutes sur la possibilité de connaître des lois générales, et presque incidemment raconte comment il a déchiffré les signes nécromantiques laissés par Venantius.
Qui est relatif à la nécromancie, « science occulte qui prétend évoquer les morts pour obtenir d’eux des révélations de tous ordres, particulièrement sur l’avenir. »
En latin | En français |
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Quod enim laicali ruditate turgescit non habet effectum nisi fortuito. | Car ce qui naît de la simple ignorance n’a aucun effet, si ce n’est celui du hasard. |
En latin | En français |
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Sed opera sapientiae certa lege vallantur et in finem debitum efficaciter diriguntur. | Mais les œuvres de la sagesse sont protégées par une loi immuable et sont efficacement dirigées vers une fin nécessaire. |
Emprunté du latin febricitans, participe présent de febricitare, « avoir de la fièvre ». On dirait maintenant « personne fébrile ».
Latin, « un », « comme ».
En latin | En français |
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Secretum finis Africae manus supra idolum age primum et septimum de quatuor. | Le secret de la limite de l’Afrique : place les mains sur l’image sur le premier et le septième des quatre. |
Curieux usage de « idolum », qui est un hellénisme.