Où malgré la brièveté du chapitre, le vieillard Alinardo dit des choses très intéressantes sur le labyrinthe et la manière d’y entrer.
Le narrateur est toujours le maître de son récit : dans l’intertitre de ce chapitre, le plus court du roman, il joue sur la réflexivité entre contenu et contenant.
Latin, « le labyrinthe représente ce monde de manière allégorique ».
Latin, « Large pour ceux qui entrent, mais trop étroit pour ceux qui (veulent) sortir. »
Un labyrinthe était représenté sur la mosaïque, aujourd’hui disparue, de la basilique de San Savino à Piacenza (XIIe siècle). Gravée juste à côté, une inscription expliquant sa signification, le comparant au monde, large pour ceux qui y entrent mais étroit pour ceux qui tentent de se libérer des vices pour en sortir.
Latin, « l’eau, source de la vie ». Voir Apocalypse 21:6.